Un savoir-faire qui risque de disparaître : le métier d’écailliste. Il n’en reste plus que quatre actuellement sur toute l’île. Nicol en fait partie, il travaille l’écaille de tortue depuis plus de 30 ans. Il est bien conscient que son métier peut prendre fin dans quelques années. À Saint-Leu, Stacy Petit l’a rencontré dans son atelier.