La flore touchée, la faune épargnée. C’est un premier bilan plutôt optimiste de la Réserve de l’Etang Saint-Paul après l’incendie qui a ravagé 2 hectares de végétation ce week-end. Pas d’animaux touchés a priori et un impact limité sur les espèces indigènes rares présentes dans la réserve. Sur les causes de l’incendie, la piste criminelle n’est pas écartée. Une plainte va même être déposée. Martine Gaze, présidente de la Réserve et Pascal Hoarau le directeur de la Réserve, répondent aux questions de Marius Mathieu.