D’après une enquête fondée sur des documents du Saint-Siège, le Vatican aurait été informé des faits reprochés à l’Abbé Pierre dès 1955. Pour rappel, il est visé par plusieurs accusations d’agressions sexuelles.
Depuis son changement de nom, la Fondation pour le Logement des Défavorisés cherche à prendre ses distances avec l’image de son fondateur, visé par des accusations de violences sexuelles. Une transition qui s’accompagne d’une chute de 30 % des dons de particuliers depuis juillet dernier.
À partir de ce samedi 25 janvier, la Fondation Abbé Pierre adopte un nouveau nom. Désormais, elle sera connue comme la Fondation pour le Logement des Défavorisés.
La Conférence des évêques de France a transmis à la justice de nouvelles accusations concernant l’abbé Pierre, décédé en 2007.
Une enquête indépendante recense plusieurs nouveaux cas de violences sexuelles, dont des viols, commis par le célèbre prêtre catholique.
Christophe Robert, délégué général de la Fondation abbé Pierre, a exhorté jeudi 19 décembre sur Franceinfo à une mobilisation face à la diminution des dons pour l’association. Cette baisse survient dans un contexte marqué par des accusations d’agressions sexuelles qui visent l’abbé Pierre.
Christophe Robert, délégué général de la Fondation Abbé Pierre, a annoncé cette décision dans un communiqué, mercredi 6 novembre. Selon lui, "la Fondation va changer de nom, mais elle conserve son rôle".
Les révélations sur les abus sexuels présumés commis par l’abbé Pierre, figure emblématique d’Emmaüs, plongent l’organisation dans une tourmente sans précédent. Des documents d’archives consultés par "Libération" indiquent que la direction d’Emmaüs savait pour l’abbé Pierre dès la fin des années 1950.
L’abbé Pierre est visé par des accusations d’agressions sexuelles sur plusieurs femmes. Les archives de l’Eglise dressent le portrait d’un "grand malade mental".
Guy Tuscher, le neveu de l’Abbé Pierre, s’est exprimé chez France Bleu Isère. Bien qu’il ait été conscient que son oncle ne respectait pas son vœu de chasteté, il n’avait pas connaissance des abus sexuels.
La ville de Lyon a décidé de retirer le nom de l’abbé Pierre de l’espace public à la suite de graves accusations de violences sexuelles portées contre lui, une démarche qui fait écho à celle de Paris.
Ce lundi 16 septembre, Éric de Moulins-Beaufort, président de la Conférence des évêques de France, a fait une révélation dans Le Monde. Selon lui, certains évêques étaient informés dès 1955-1957 des comportements inappropriés de l’abbé Pierre envers les femmes.
Trente-quatre ans plus tard, des accusations oubliées réapparaissent et mettent en doute l’héritage de cette célèbre figure de la charité.
Face aux récentes révélations concernant des violences sexuelles attribuées à l’abbé Pierre, plusieurs lieux publics portant son nom sont en passe de changer d’appellation.
Dans des épistolaires révélés par la cellule investigation de Radio France, l’abbé Pierre s’est montré menaçant envers ceux qui ont voulu parler de ses agissements.
Après les accusations d’agressions sexuelles portées contre l’abbé Pierre, Adrien Chaboche, délégué général d’Emmaüs, estime sur RTL que son image a évolué…
L’Église a fait part de son "effroi" après ces nouvelles accusations de violences sexuelles visant l’Abbé Pierre. La Fondation a aussi décidé de changer de nom.
Le diocèse de Grenoble-Vienne a récemment mis au jour une lettre datant de 1965, révélant des accusations d’agressions sexuelles contre l’abbé Pierre.
Cette information a été confirmée par la fondation abbé Pierre à RTL ce mercredi 24 juillet.
Cette huitième femme a livré son récit après la publication d’un rapport demandé par Emmaüs et la Fondation Abbé Pierre, mercredi 17 juillet. Elle a pris la parole au micro de France Inter.
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