L’habituelle doublure de Salvatore Sirigu n’y pas est pas allé de main morte quand il s’agit de critiquer le public du Parc des Princes, mais également Jean-Michel Aulas, le président de l’Olympique Lyonnais.
Le portier parisien Nicolas Douchez, 34 ans, estime que les supporters du Paris Saint-Germain ne remplissaient plus réellement leur rôle et se trompaient parfois de cibles. Dans l’émission Tribune 100% Ducrocq sur France Bleu Ile-de-France, le joueur a affirmé sans langue de bois que l’ambiance dans les tribunes a changé. Il estime que certains pensent que le PSG devait passer par là "mais on espère qu’elle reviendra. C’est toujours agréable de sentir un public derrière soi. Sur le dernier match en championnat contre Rennes, ils ont sifflé Adrien Rabiot". Douchez trouve cela dommage car "il ne mérite pas les sifflets". Pour lui, le public est devenu "difficile" (...) Il oublie les saisons précédentes trop vite. Quand tu enchaînes les matches compliqués, tu as besoin d’être poussé".
Une couche sur Aulas
Le patron de Lyon, Jean-Michel Aulas, en veut à l’arbitre Clément Turpin. Au lendemain de la rencontre de sa troupe et celle du PSG (1-1), en marge de la 24ème journée de Ligue 1, l’homme d’affaires a estimé que l’arbitrage était en faveur des parisiens. Des déclarations qui ont choqué Nicolas Douchez.
Sur les ondes de Radio France Bleu, Douchez a avoué : "Carton rouge pour Monsieur Aulas, parce qu’il me fatigue avec ses déclarations. Il a toujours quelque chose à dire. Lyon a voulu mettre la pression sur l’arbitre avant le match". Le joueur a ensuite continué : "On a tous le droit d’avoir un avis sur le pénalty à retirer ou pas. Mais voilà avec lui, c’est toujours la même rengaine depuis des années et ça fatigue !".
Par ailleurs, toujours dans le même entretien, le portier du PSG a évoqué son amitié avec son ancien partenaire David Beckham, de passage à Paris en 2013. Selon lui, sa relation avec l’anglais "ne s’explique pas", tout simplement.
Douchez a ensuite lancé des fleurs au britannique en le qualifiant de humble, et que ceci force le respect et l’admiration car quand on sait la carrière qu’il a et ce qu’il représente aux yeux du monde, "rester simple comme il est : respect !"