A la demande de la défense, l’affaire de trafic de drogue impliquant trois gendarmes et un policier du GIR à Mayotte pourrait être dépaysée à La Réunion pour "éviter tout soupçon de partialité". Me Fatima Ousseni, avocate des quatre militaires, estime par ailleurs que la presse a été "instrumentalisée", alors que ses clients sont pourtant des “gens honnêtes, à respecter.”