Affaibli par une popularité en berne et pressé par l’Union Européenne pour adopter un plan de rigueur, Il Cavaliere rendra bien sa démission. Silvio Berlusconi a annoncé mardi soir qu’il remettra son mandat au Président italien suite à l’adoption des mesures d’austérité au Parlement.
Les mesures promises à L’union européenne devraient être votées d’ici au 18 novembre au Sénat et d’ici à la fin du mois à la Chambre des députés. Fragilisé depuis plusieurs mois déjà, le président du Conseil italien a perdu sa majorité absolue à la Chambre des députés ce mardi et l’opposition s’est engouffrée dans la brèche pour demander sa démission. Le départ de Silvio Berlusconi a aussi été était réclamé par son alliée, la Ligue du Nord.
Comme le rapporte le site du Parisien.fr, la situation économique en Italie est qualifiée de « très inquiétante » par la Commission européenne, qui a envoyé dans la soirée une mission à Rome. Si la crise de la dette affectait la 3e économie de l’Union, personne ne sait si la zone euro aurait vraiment les moyens ou non de financer un plan de sauvetage.
Reçu pendant une heure environ par le président de la République italienne, Giorgio Napolitano, Silvio Berlusconi s’est dit « conscient des conséquences du résultat du vote » de ce mardi, révèle un communiqué de la présidence. Il a « exprimé sa vive préoccupation face à l’urgente nécessité de donner des réponses concrètes aux attentes des partenaires européens avec l’approbation de la loi de finances (2012), amendée à la lumière des observations et propositions de la Commission européenne », peut on lire sur le site du Parisien.fr.
Les jours du président du Conseil sont donc comptés. Dans quelques semaines, un mois tout au plus, Sivlio Berlusconi remettra sa démission. Pour lui succéder, la Ligue du Nord pense à Angelino Alfano, le dauphin de Silvio Berslusconi et secrétaire général du Peuple de la liberté (PDL).
Pour les élus de l’opposition : « Ce gouvernement n’est pas capable de gérer la situation et de l’affronter ». Cette constatation a été immédiatement suivie par une demande de démission adressée au Cavaliere. « Nous avons un problème de crédibilité avec ce gouvernement. Ce gouvernement n’est pas capable de gérer la situation et de l’affronter », a poursuivi le leader du PD. « Je vous demande, M. le Président (du Conseil, ndlr), de toutes mes forces, de prendre finalement acte de cette situation. On ne peut pas continuer à avancer de cette façon. Vous devez démissionner ». Après s’être accroché pendant des mois années au pouvoir, Il Cavaliere mettra fin à son mandat.
Les mesures promises à L’union européenne devraient être votées d’ici au 18 novembre au Sénat et d’ici à la fin du mois à la Chambre des députés. Fragilisé depuis plusieurs mois déjà, le président du Conseil italien a perdu sa majorité absolue à la Chambre des députés ce mardi et l’opposition s’est engouffrée dans la brèche pour demander sa démission. Le départ de Silvio Berlusconi a aussi été était réclamé par son alliée, la Ligue du Nord.
Comme le rapporte le site du Parisien.fr, la situation économique en Italie est qualifiée de « très inquiétante » par la Commission européenne, qui a envoyé dans la soirée une mission à Rome. Si la crise de la dette affectait la 3e économie de l’Union, personne ne sait si la zone euro aurait vraiment les moyens ou non de financer un plan de sauvetage.
Reçu pendant une heure environ par le président de la République italienne, Giorgio Napolitano, Silvio Berlusconi s’est dit « conscient des conséquences du résultat du vote » de ce mardi, révèle un communiqué de la présidence. Il a « exprimé sa vive préoccupation face à l’urgente nécessité de donner des réponses concrètes aux attentes des partenaires européens avec l’approbation de la loi de finances (2012), amendée à la lumière des observations et propositions de la Commission européenne », peut on lire sur le site du Parisien.fr.
Les jours du président du Conseil sont donc comptés. Dans quelques semaines, un mois tout au plus, Sivlio Berlusconi remettra sa démission. Pour lui succéder, la Ligue du Nord pense à Angelino Alfano, le dauphin de Silvio Berslusconi et secrétaire général du Peuple de la liberté (PDL).
Pour les élus de l’opposition : « Ce gouvernement n’est pas capable de gérer la situation et de l’affronter ». Cette constatation a été immédiatement suivie par une demande de démission adressée au Cavaliere. « Nous avons un problème de crédibilité avec ce gouvernement. Ce gouvernement n’est pas capable de gérer la situation et de l’affronter », a poursuivi le leader du PD. « Je vous demande, M. le Président (du Conseil, ndlr), de toutes mes forces, de prendre finalement acte de cette situation. On ne peut pas continuer à avancer de cette façon. Vous devez démissionner ». Après s’être accroché pendant des mois années au pouvoir, Il Cavaliere mettra fin à son mandat.
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