A l’occasion de la rentrée des classes en Pologne le 1er septembre, les pompiers sont intervenus plus de 200 fois pour des fausses alertes à la bombe.
"Cela arrive quelques fois dans l’année qu’on reçoive une alerte à la bombe, mais aujourd’hui (mercredi 1er septembre) nous sommes intervenus 225 fois", a témoigné le porte-parole des pompiers. Plus de 200 signalements de fausses alertes à la bombe dans des établissements scolaires ont été reçus par les pompiers polonais le jour de la rentrée des classes en Pologne.
De son côté, la police locale procède systématiquement à des vérifications à chaque alerte à la bombe dans les écoles et cherche à identifier l’auteur. En Pologne, une fausse alerte est passible d’une peine d’emprisonnement allant jusqu’à huit ans, rapporte Le Figaro.
Dans un communiqué, Krzysztof Strzalkowski, le maire de l’arrondissement Wola de la capitale polonaise, a évoqué ce fléau annuel des fausses alertes à la bombe en indiquant que : "C’est particulièrement difficile pour les plus jeunes élèves qui commencent leur cursus scolaire et c’est pour eux très, très stressant".
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