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Boris Johnson a obtenu 211 voix de députés conservateurs en sa faveur contre 148 demandant son départ lors d’un vote de confiance décisif au sein de sa majorité conservatrice après le scandale du "partygate". Il reste donc à la tête du gouvernement britannique.
L’affaire du "partygate", les fêtes organisées à Downing Street durant les périodes de confinements au Royaume-Uni, a été relancée fin mai à la suite d’un rapport détaillant les violations des mesures prises face au coronavirus. Le président du comité 1922 du Parti conservateur, Graham Brady, a affirmé que le seuil fatidique de 54 lettres de députés, soit 15 % du groupe parlementaire, demandant le départ de M. Johnson, avait été atteint. Un vote de confiance décisif a été alors organisé lundi au sein de sa majorité conservatrice.
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Après plusieurs mois de spéculations et de rebondissements dans ce scandale, les députés conservateurs ont voté en faveur du maintien de Boris Johnson à la tête du gouvernement britannique. Comme le rapportent plusieurs médias, 211 parlementaires lui ont apporté son soutien lors de la motion de censure, tandis que 148 se sont prononcés pour son départ. C’est toutefois moins de 60 % des suffrages. Le Premier ministre reste à son poste, mais voit son autorité considérablement affaiblie.
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