Jonathan Lewis ne s’attendait pas à une telle découverte alors qu’il venait de déménager dans sa nouvelle maison dans le quartier de Walton, à Liverpool, en Angleterre.
Ecrits sur une note en papier, les aveux d’une tueuse ont été retrouvés le 17 septembre dernier enfouis dans le mur d’une maison de Liverpool, en Angleterre. Jonathan Lewis, un instituteur de 32 ans qui venait de déménager dans la propriété est tombé sur le lourd secret. Comme le rapporte le Daily Mail, il a voulu examiner le vide sous l’escalier cloisonné quand il a aperçu une vieille poupée de chiffons à la chevelure jaune moutarde. La poupée tenait dans ses mains un bout de papier dans lequel une tueuse a avoué un crime qui a été commis en 1961.
Les aveux contenaient le récit de la meurtrière qui avait poignardé les premiers propriétaires. "Cher lecteur/ nouveau propriétaire, merci de m’avoir libérée ! Je m’appelle Emily. Mes premiers propriétaires vivaient dans cette maison en 1961", avait-elle écrit sur les propos relayés par le magazine Closer. "Je ne les aimais pas, alors ils ont dû partir. Ils ne faisaient que chanter et s’amuser. C’était insupportable. J’ai décidé de les tuer en les poignardant", a-t-elle poursuivi. "J’espère que vous dormirez bien", a conclu la tueuse.
Jonathan Lewis n’a pas tardé à contacter l’agent immobilier qui lui a vendu la maison. Ce dernier n’a pas cru un seul instant à cette histoire sordide. Il a, d’ailleurs, accusé les anciens propriétaires d’avoir placé le message dans le mur à l’époque où ils ont refait la cuisine, il y a cinq ans. Le nouveau propriétaire ne semble pas être découragé par cette découverte et compte bien rester dans la maison.