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Le second fils de la reine Elizabeth II, le prince Andrew, est très critiqué pour ne pas avoir pris ses distances avec Jeffrey Epstein. Ce dernier était accusé d’avoir exploité sexuellement des jeunes filles mineures. Il s’est donné la mort en prison.
Le duc d’York, 59 ans, s’est également vu reprocher d’avoir totalement ignoré les victimes présumées. Dans un communiqué relayé par la presse française, le prince Andrew écrit : "il est devenu clair pour moi ces derniers jours que les circonstances de mes liens passés avec Jeffrey Epstein sont devenues une perturbation majeure du travail de ma famille et du (mien)".
En conséquence, dit-il, le frère du prince Charles a alors demandé à "Sa Majesté si je pouvais me retirer de mes engagements publics dans un avenir proche". Sa mère, la Reine Élisabeth II, lui a alors "donné sa permission". Le prince Andrew a poursuivi mercredi 20 novembre 2019 "continuer de regretter sans équivoque (son) association malavisée avec Jeffrey Epstein" et "compatir profondément avec toutes les personnes affectées" par l’affaire. Et celui-ci d’ajouter qu’il se dit "prêt" à coopérer à l’enquête.
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Pendant une interview, le prince Andrew avait contesté les accusations d’une femme recrutée par J. Epstein. Celle-ci assure avoir été violée par ce dernier alors qu’elle était mineure. Depuis, le Duc est dans les tourments, plongeant la famille royale dans ce que les médias qualifient d’ ‘Annus Horribilis’, un terme de la reine. En effet, cette dernière avait utilisé cette expression en 1992 quand ses deux fils se sont séparés de leurs épouses respectives, sa fille Anne de même et le château de Windsor a brûlé.
Par ailleurs, le prince Andrew a été lâché par plusieurs collaborateurs comme la banque Standard Chartered, le cabinet de conseil et d’audit KPMG, le géant britannique des télécoms BT, ou encore trois universités australiennes…
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