DR - Reuters (Fabrizio Bensch )
Lundi soir, un homme à bord d’un camion a foncé sur la foule dans un marché de Noël à Berlin. Un suspect a été arrêté, mais l’homme nie les faits. Le bilan provisoire est de 12 morts et 48 blessés. L’Etat islamique revendique l’attaque.
Deux jours après l’attentat qui a frappé Berlin, des zones d’ombre demeurent. Alors qu’un suspect avait été arrêté – un demandeur d’asile d’origine pakistanaise- l’homme rejetait les accusations qui pesaient sur lui.
Le camion a semé le chaos sur le marché de Noël de l’Eglise du Souvenir, situé sur l’une de grandes places, à l’ouest de la ville. Un lieu symbolique, car vestige martyr de la IIe Guerre mondiale.
Dès l’annonce de l’attentat, les réactions se sont multipliées dans le monde, dont celle dont celle de Katharina Mülhke, uneAllemande vivant à La Réunion.
Le bilan provisoire est de 12 morts et 48 blessés, dont 12 qui se trouvaient hier dans un état grave, selon le ministre de l’intérieur allemand, Thomas De Maizière.
Depuis hier matin, les drapeaux de Berlin sont en berne.
L’Etat islamique revendique l’attaque.
En réaction au drame survenu à Berlin, le ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, a appelé l’ensemble des forces de l’ordre à maintenir une vigilance maximale, et d’indiquer le renforcement immédiat de la sécurité des marchés de Noël sur le territoire français.
Des recherches se poursuivent également pour retrouver l’arme à feu qui a servi à abattre le chauffeur polonais.
Un demandeur d’asile pakistanais est suspecté dans le cadre de l’attentat au camion de Berlin. Mais, le ministre allemand de l’Intérieur indique que l’homme nie depuis hier avoir commis cet attentat.
Depuis, l’homme a été relâché dans la nuit. Un autre suspect est recherché.
