Londres, reine du divorce

Avec une législation britannique soutenant particulièrement la partie la moins riche, Londres est devenue la capitale mondiale du divorce. L’on sait que la loi britannique soutient le partenaire le moins riche en lui accordant la moitié de la fortune de son futur ex-époux. C’est pour cette raison que la ville de Londres a obtenu le palmarès de la ville championne du divorce. Le cas de cette ancienne reine de beauté Malaisienne en témoigne. 

"Récemment, Pauline Chai a obtenu le divorce en grande Bretagne et non en Malaisie, comme le réclamait son (ex) mari" a-t-on appris sur le récit du site virginradio.fr . "J’ai plus de 1000 paires de chaussures ici", argue-t-elle. De plus sachant que son mari, Khoo Kay Peng dispose d’une fortune de 500 millions d’euros, elle n’a pas eu tort de divorcer à Londres. La Haute Cour de Londres s’est rangée du côté de l’ancienne Miss Malaisie vendredi bien que son époux ait argumenté qu’elle avait au moins le même nombre de paires de chaussures en Malaisie. Avec l’idée d’une répartition des biens particulièrement alléchante, Pauline Chai se retrouvera avec une coquette somme après le procès.

"Comme elle, des milliers de Chinois, Russes ou Européens pouvant se prévaloir d’un titre de résidence en Angleterre veulent divorcer à Londres" cite Libération. Restant sur nos sources, "l’Angleterre est devenue très séduisante pour les femmes car elles peuvent y obtenir beaucoup plus que presque partout ailleurs dans le monde. Jusqu’à 75% de notre clientèle est étrangère et ce sont souvent des gens aisés", a précisé Sandra Davis, responsable du droit de la famille au cabinet Mishcon de Reya, qui n’est autre que la conseillère des célébrités comme la princesse Diana, le footballeur Thierry Henry ou encore Jerry Hall, l’ex-épouse de Mick Jagger.