Le mardi 12 juillet, Washington a fait savoir qu’il a éliminé le leader du groupe État islamique (EI) en Syrie lors d’une frappe de drone.
Dans un communiqué, le Pentagone présente Maher al-Agal comme étant "l’un des cinq plus hauts dirigeants" de l’État islamique. Celui-ci a été éliminé alors qu’il roulait à moto à côté de la ville de Jandairis, dans le nord-ouest de la Syrie. Quant à son plus proche conseiller, il a été "gravement blessé".
Maher al-Agal était "chargé de poursuivre de façon incisive le développement des réseaux de l’EI hors d’Irak et de Syrie", indique le colonel Joe Buccino, porte-parole du commandement central de l’armée américaine au Moyen-Orient, rapportent les médias français comme France 24.
> À lire aussi : Syrie : une centaine de femmes et environ 250 enfants français encore détenus dans les camps
De son côté, Joe Biden s’est félicité, dans un communiqué, de la réussite de l’opération qui a éliminé "un terroriste clé" et "affaiblit de façon considérable la capacité de l’EI de préparer, financer et conduire ses opérations dans la région".
L’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) a confirmé le décès de Maher al-Agal, "gouverneur pour le Levant" de l’État islamique.
> Toute l’actualité internationale sur LINFO.re