Emmanuel Macron plaide pour la paix au Liban lors de son discours à l’ONU

LINFO.RE – créé le 26.09.2024 à 13h16 – La rédaction

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Lors de sa prise de parole devant l’Assemblée générale des Nations unies, le président de la République française a mis en garde contre une possible escalade du conflit au Liban. Alors que les tensions entre Israël et le Hezbollah ne cessent de monter, il a souligné l’importance d’"une voie diplomatique" pour préserver la stabilité dans la région.

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"Il ne peut pas et il ne doit pas y avoir de guerre au Liban"

Emmanuel Macron s’est exprimé sur la situation au Liban lors de son intervention à l’ONU. Il a lancé un appel urgent pour éviter un conflit dans le pays, alors que les tensions s’intensifient au Moyen-Orient. Le chef de l’État français a appelé Israël à mettre fin à ses frappes au Liban, tout en exhortant le Hezbollah à cesser ses attaques.

Le locataire de l’Élysée a indiqué que le peuple libanais ne doit pas être entraîné dans un nouveau conflit. Face au risque d’escalade, il a insisté sur la nécessité d’une solution diplomatique pour préserver les vies civiles et a promis que la France jouerait un rôle actif pour désamorcer la situation. Le président américain, Joe Biden, craint un embrasement régional.

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La situation à Gaza au cœur des préoccupations

Le dirigeant français a aussi parlé de la guerre à Gaza, déplorant la durée du conflit et ses conséquences humaines. Tout en réitérant son soutien au droit d’Israël de se défendre, il a rappelé la position de la France, qui condamne l’attaque du Hamas le 7 octobre. Les souffrances des civils et la perte de vies humaines doivent, selon lui, cesser au plus vite pour éviter de nouveaux ressentiments et violences à l’avenir.

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Appel à "limiter" le droit de veto au Conseil de sécurité en cas de "crime de masse"

Enfin, M. Macron a profité de l’occasion pour plaider en faveur d’une réforme du Conseil de sécurité de l’ONU. Il propose de limiter le droit de veto en cas de "crime de masse" pour rendre cet organe plus réactif face aux crises internationales. Il estime que cette réforme permettrait de renforcer l’efficacité des décisions prises pour maintenir la paix et la sécurité mondiale.