Mardi, les amis de ce père de famille ont signalé à la police de Phuket, dans le sud du pays le crime qu’il a commis en live sur facebook. Le Thaïlandais a d’abord tué sa fille de 11 mois et s’est donné par la suite la mort.
Un lieutenant de police, l’un des premiers sur les lieux du drame, a déclaré à l’AFP qu’"ils étaient déjà morts" à leur arrivée sur place lundi après-midi. Un téléphone a également été retrouvé à côté. Une enquête effectuée par la police a révélé qu’une dispute s’est produite entre l’homme et la mère de sa fille avant ce drame.
Quelques jours avant ce meurtre, un crime s’est produit aux Etats-Unis puis a été la diffusé sur Facebook. Il s’agissait d’un homme de 37 ans qui avait tué un retraité, un homme pris au hasard dans la rue.
Après trois jours de poursuite, le tueur s’est donné à la mort.
Après c’est incident survenu quelques jours plus tôt, le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, avait assuré que le nécessaire sera fait pour éviter que ce genre de tragédie ne se reproduise.
Ces meurtres ne sont pas les premiers diffusés en live sur internet. Le gouverneur de Phuket a donc adressé un message aux Thaïlandais pour qu’ils ne partagent pas la vidéo du meurtre et du suicide, qui a duré 4mn, et qui était toujours visible mardi après-midi sur le compte d’internautes thaïlandais.