La tension monte entre les responsables du Kremlin et la communauté internationale. En effet, à la suite des frappes aériennes qui ont touché des bâtiments hospitaliers tenus par Médecins Sans Frontière (MSF) en Syrie, l’OSDH (Observatoire syrien des droits de l’homme) a dénoncé les avions russes comme auteurs du massacre. Une accusation que la Russie dément catégoriquement.