Illustration-Sergi Reboredo/Sipa USA/SIPA
Constance Glantz a été déclarée morte dans sa maison de retraite dans le Nebraska. Son corps a ensuite été transporté dans un funérarium où un employé a constaté qu’elle respirait encore.
Les faits se sont produits lundi 3 juin 2024, dans le Nebraska aux États-Unis. Un employé du funérarium préparait le corps de Constance Glantz, comme il en a l’habitude. Mais alors qu’il s’apprêtait à embaumer la dépouille, il s’est rendu compte que la femme respirait encore. Alertés, les secours ont immédiatement transporté la retraitée à l’hôpital. Malheureusement, la femme âgée de 74 ans, est décédée quelques heures plus tard, selon les informations rapportées par USA Today et la BBC.
Selon les informations des médias américains, c’est un médecin qui avait constaté le décès de Constance Glantz, qui se trouvait en soins palliatifs au moment des faits. Un certificat de décès avait été émis. La dépouille avait été confiée aux pompes funèbres.
Les autorités américaines ont ouvert une enquête pour clarifier les circonstances précises de cette tragique méprise. Il s’agit d’un cas "très inhabituel" selon le chef adjoint du bureau du shérif du comté de Lancaster, qui a tenu à souligner que "les pompes funèbres n’ont absolument rien fait de mal." "Je n’ose imaginer ce que sa famille a dû endurer et nous sommes vraiment, vraiment désolés pour eux", a-t-il précisé.
Selon la BBC, plus de deux heures s’étaient écoulées depuis la déclaration de décès lorsque l’employé des pompes funèbres a remarqué que la retraitée respirait encore. La police a déjà affirmé qu’il n’y avait aucune preuve d’intention criminelle de la part de la maison de retraite.
Malheureusement, ce type d’erreur n’est pas isolé. En février dernier, une Indienne de 52 ans déclarée morte s’est réveillée juste quelques minutes avant la crémation de son corps.
Source : Ouest-france.fr