AFP/Newscom/SIPA
Donald Trump a accepté de s’entretenir avec The Atlantic, peu après avoir critiqué ses révélations sur une faille de sécurité gouvernementale. Lundi 28 avril, le média a publié un article détaillant les bouleversements survenus aux États-Unis et à l’international depuis son retour au pouvoir.
Lors de cette interview à The Atlantic, Donald Trump, désormais 47e président des États-Unis, a estimé que son second mandat, entamé après sa victoire du 5 novembre 2024, différait nettement du précédent. Il a souligné des changements notables dans sa manière de gouverner et dans ses priorités. "La première fois, j’avais deux choses à faire : diriger le pays et survivre", a-t-il dit.
Dans des propos traduits par Le Figaro, le républicain a ajouté : "je devais faire face à tous ces escrocs. Et cette fois-ci, je dirige le pays et le monde". Donald Trump a même dit prendre du plaisir lors de ses 100 premiers jours passés à la Maison-Blanche, plus que lors de son premier mandat. "Je m’amuse beaucoup, vu ce que je fais. Vous savez, ce que je fais est vraiment sérieux", a confié le président américain.
> À lire aussi : Donald Trump : ’Peut-être que Vladimir Poutine ne veut pas arrêter la guerre en Ukraine et me balade’
Pendant l’entretien, Donald Trump a multiplié les comparaisons avec ses prédécesseurs, dans un contexte marqué par une guerre commerciale avec plusieurs nations. Le milliardaire a reconnu apprécier le style de Ronald Reagan, tout en critiquant ses compétences en matière d’échanges internationaux, estimant qu’il n’excellait pas dans ce domaine.
Il a également évoqué Dwight D. Eisenhower, louant sa politique migratoire particulièrement stricte, selon lui comparable à la sienne. Donald Trump a insisté sur sa propre efficacité en matière commerciale, se présentant comme bien plus performant que les autres républicains avant lui à la Maison-Blanche.
> Toute l’actualité internationale sur LINFO.re