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Donald Trump, candidat aux présidentielles Américaines, pense que les attentats de Bruxelles auraient pu être évités. D’après lui, il aurait suffi de torturer Salah Abdeslam, une méthode d’interrogatoire qui peut s’avérer très utile.
Salah Abdeslam aurait dû être torturé
Le milliardaire américain Donald Trump n’en finit pas de choquer. Il s’est récemment prononcé sur les attentats de Bruxelles qui, selon ses dires, auraient pu être évités. Le favori de l’investiture républicaine aux présidentielles Américaines a expliqué ce mercredi 23 mars que la torture de Salah Abdeslam aurait permis de démanteler à temps les opérations terroristes qui avaient été prévues. "Peut-être qu’il est en train de parler [aux enquêteurs], mais il parlerait beaucoup plus vite avec la torture", a déclaré le milliardaire américain sur la chaîne américaine CNN. "S’il avait parlé, on aurait évité ce coup-là, tous ces gens morts, tous ces gens blessés, parce qu’il savait sûrement", avait-il ajouté.
Des formes de tortures diverses pour les présumés terroristes
Le candidat aux présidentielles Américaines a même proposé la simulation de noyade, comme moyen pour faire parler Salah Abdeslam. "Nous devons être intelligents. C’est une forme minimale de torture", a-t-il plaidé. Dans ses promesses de campagne pour les présidentielles Américaines, Donald Trump a promis qu’il rétablirait la simulation de noyade, le "waterboarding". Il a également parlé de mettre en place d’autres "formes de torture bien pires" pour faire parler les présumés terroristes. "Nous devons changer nos lois et nous devons être capables de nous battre à armes égales", a ajouté Donald Trump.
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— CNN France (@CNNFrancePR) 23 mars 2016
