L’organisation des proches de personnes disparues et des victimes sous le régime d’Augusto Pinochet a toujours accusé l’armée d’avoir gardé le silence sur les crimes commis par les militaires de 1973 à 1990. Se faisant écho de cette indignation de la population, la Présidente Michelle Bachelet, a appelé l’armée à rompre le silence.