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Le tabloïd Mail on Sunday a été poursuivi par Meghan Markle pour "atteinte à la vie privée" après la publication de la lettre, écrite en 2018. Elle a alors obtenu 500 000 euros, en février.
Devant la justice britannique, Meghan Markle a reconnu avoir fourni des informations aux auteurs d’une biographie non-officielle sur elle et son époux le prince Harry, rapporte 20 Minutes.
Pourtant, elle a affirmé le contraire lors du procès contre le tabloïd Mail on Sunday à l’issue duquel elle a obtenu la somme de 500 000 euros.
Le journal est poursuivi en justice pour atteinte à la vie privée après la publication d’un courrier, écrit en 2018. Dans cette lettre, l’ex-actrice a demandé à son père Thomas Markle, 77 ans, de cesser de s’épancher et de mentir dans les médias sur leur relation brisée.
Le tabloïd, ne voulant pas se laisser faire, a contesté cette décision durant un appel examiné à Londres. Le témoignage de Jason Knauf, l’ancien secrétaire à la communication du couple a par ailleurs, affaibli les accusations de Meghan Markle. Il a confirmé avoir fourni, au nom du couple, des informations privées aux auteurs de la biographie du couple royal, ‘Finding Freedom’ ("Harry et Meghan, libres"). Selon ses dires, le projet de cet ouvrage était discuté de "façon routinière et directement avec la duchesse, en personne et par e-mail".
Dans un témoignage écrit fourni au tribunal, Meghan a reconnu avoir été impliquée dans la rédaction du livre. A noter que jusqu’ici, elle et son époux ont toujours affirmé le contraire.
La maman d’Archie et de Lilibet s’est ainsi excusée d’avoir induit la cour en erreur en ne l’ayant pas précisé en première instance. "Je reconnais que Jason Knauf a fourni des informations aux auteurs et qu’il l’a fait en ma connaissance", a-t-elle noté. Elle a cependant, souligné n’avoir pas connu l’étendue de ces informations. "Je présente mes excuses à la cour pour ne pas m’être souvenue de ces échanges à l’époque", a renchéri la duchesse.
Elle a toutefois, fait valoir qu’elles étaient "bien loin des informations personnelles très détaillées" que le Mail on Sunday avait publiées.
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