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Dans un témoignage explosif du 23 juin, Britney Spears a demandé au tribunal de mettre fin à sa tutelle.
L’affaire concernant la tutelle de Britney Spears est au cœur de l’actualité aux Etats-Unis. Le 23 juin dernier, la star a fait un témoignage explosif durant lequel elle a imploré le tribunal de mettre fin à sa tutelle. Pourtant, mercredi 30 juin, la juge californienne Brenda Penny a rejeté la demande de la chanteuse.
Comme le rapporte HuffPost, ce dossier sur sa tutelle est de nouveau débattu devant un tribunal de Los Angeles ce mercredi 14 juillet.
Jusqu’ici, aucune information n’a été mentionnée si la star au succès planétaire, prendra de nouveau la parole à l’audience. Durant ce procès, une dizaine de requêtes doivent être examinées par une juge.
Pendant 20 minutes, Britney Spears, se disant "traumatisée et déprimée", a annoncé qu’elle n’est pas autorisée à prendre des décisions concernant ses amitiés ou ses finances. Le fait de retirer un stérilet lui est également interdit, pourtant, elle voulait avoir d’autres enfants. "Je veux juste reprendre ma vie, cela fait treize ans et cela suffit”, a-t-elle supplié.
La chanteuse de 39 ans a eu le soutien massif de son ex-petit ami Justin Timberlake, Christina Aguilera ou encore Madonna. Ces confidences ont également ravivé la campagne #FreeBritney (#LibérezBritney en français), organisée dans la rue et sur les réseaux sociaux par certains fans. Selon le journal, ces derniers sont attendus devant le tribunal ce mercredi.
Après le témoignage de la star, plusieurs personnages, occupant différentes fonctions dans ce système complexe ont pris leurs distances.
Entre autres, on peut citer Samuel Ingham, l’avocat attribué à la chanteuse par un tribunal a demandé à être démis de son poste. La société de gestion financière qui devait assumer le contrôle conjoint de la fortune de Britney Spears avec son père Jamie, a également démissionné. Pareillement, Larry Rudolph, manager de l’artiste de longue date a aussi quitté le navire. Ces demandes doivent être validées par la juge en charge de l’affaire.
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