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Alors que la question de l’héritage de Johnny Hallyday déchire encore ses proches, l’avocat du chanteur a dévoilé dans Paris Match les dispositions prises par le rockeur.
Ardavan Amir-Aslani, conseiller de Johnny Hallyday pendant 7 ans et défenseur des intérêts de Laetitia figure parmi les personnes qui connaissaient le mieux le couple. L’avocat d’origine iranienne a accepté de se confier dans les colonnes de Paris Match en revenant en 2014 où le rockeur a décidé d’établir son testament. Selon lui, l’interprète de ’Que je t’aime’ se préoccupait quotidiennement de la mort. Cette angoisse est apparue pour la première fois en 2009 lorsqu’il l’a vue de près. "Aussi parce qu’il était conscient de l’écart d’âge conséquent avec son épouse, avec ses deux plus jeunes filles", a déclaré l’avocat. Ce dernier a ensuite précisé que le chanteur voulait s’assurer que sa vie soit simplifiée et sa succession organisée.
La question de l’héritage de Johnny Hallyday s’est transformée en une guerre ouverte entre Laetitia Hallyday et les deux premiers enfants du rockeur. Ardavan Amir-Aslani a raconté les conditions dans lesquelles le testament a été établi. Un moment qui a été très dur pour la maman de Jade et Joy. L’avocat parle d’un "couple profondément soudé, profondément respectueux l’un de l’autre". Laetitia pleurait chaque fois que la mort de son mari était abordée.
Au moment d’établir son testament, Johnny Hallyday préférait venir seul chez son avocat pour lui éviter une grande souffrance. Me Amir-Aslani a surtout écarté l’idée que Laeticia Hallyday ait forcé la main à son mari. "Prétendre que Laeticia lui a forcé la main est une aberration quand on connaît la détermination de Johnny", a-t-il déclaré. "Lorsqu’il l’a informée qu’il allait prendre des dispositions testamentaires afin qu’elle soit bénéficiaire de son patrimoine dans l’intérêt de Jade et Joy, mineures, elle a décidé d’en faire autant de son côté", a-t-il renchéri.
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