Pour connaître l’humeur du moment du Premier ministre Edouard Philippe, il suffit juste d’observer ses boutons de manchette.
Le journal français Le Parisien a pu passer 48 heures avec le Premier ministre à Matignon. Pendant deux jours, l’homme a accepté que le média soit témoin de son quotidien : les réunions jusqu’à pas d’heures, les obligations protocolaires, son rôle de chef de la majorité, le poids des responsabilités ... (>> A découvrir ici).
Le principal intéressé en a profité pour dévoiler que pour savoir son humeur, il ne suffit que de regarder ses boutons de manchette. "J’en ai une centaine et j’en porte tous les jours ! Mais c’est une collection qui ne vaut rien", affirme-t-il en expliquant que cela représente juste une humeur, ou symbolise un lieu dans lequel il va se rendre dans la journée.
>> A lire aussi : Sondage : la popularité de Macron et Philippe chute en janvier
Il y a quelques jours, les journalistes ont pu l’apercevoir avec des ancres marines accrochées à ses poignets mousquetaires. Selon le principal intéressé, c’est un de ses symboles préférés. Il dit avoir choisi cette paire car "je vais tout à l’heure au Palais de Chaillot pour les vœux au personnel de Matignon". L’homme politique précise que "c’est un lieu où on a longtemps accueilli les séminaires de la marine".
Lorsque l’occasion se présente, l’ancien maire de la ville portuaire normande du Havre complète sa collection. Il confie notamment chercher depuis longtemps des boutons de manchette aux armes de la Sicile, mais il n’en a pas encore trouvé. "J’adore cet endroit. En plus, il a été pendant longtemps Normand, au XIe siècle. Une des périodes les plus prolifiques de l’île d’ailleurs", poursuit Edouard Philippe.
>> Notre dossier sur Edouard Philippe