Valérie Trierweiler a accordé une interview à Rachel Bourlier lors de son dernier passage à Londres pour la promotion de Merci pour ce moment. Elle y revient sur les critiques des cadres du Parti socialiste.
Les échos du séjour londonien de Valérie Trierveiller sont légion commente Closer aujourd’hui. Elle est intervenue au talk-show sur Radio French London, évoquant le succès de son livre en France et le fait qu’elle pourrait être surveillée par l’Elysée.
Elle est aussi revenue sur les critiques dont elle a fait l’objet dans le milieu politique, notamment celles de Jean-Christophe Cambadélis, qui lui reprochait de "ridiculiser le Président à l’étranger" ou encore de Jean-Marie Le Guen : "Je n’ai pas de leçon de morale à recevoir de la part d’élus condamnés par la justice. Tous les deux ont été condamnés dans l’affaire de la MNEF".
"Moi je demande juste aux hommes politiques d’être exemplaires avant de demander aux autres de l’être. Je ne fais rien d’autre que de raconter mon histoire, c’est ma liberté. Si l’image de la France repose sur moi et non sur le Président, c’est qu’il y a un problème. S’il y a un problème avec l’image de la France, ce n’est pas à moi qu’il faut l’adresser", a-t-elle dit.
L’ancienne compagne de François Hollande a également confirmé qu’elle ne sortirait pas de deuxième tome de Merci pour ce moment "parce que l’histoire avec François Hollande est terminée et bien terminée" : "J’ai hâte de tourner la page, de passer à autre chose, d’avoir une nouvelle vie. Rien ne sera plus comme avant".
Celle qui était journaliste politique avant l’officialisation de son idylle avec François Hollande confirme également qu’elle ne retrouvera pas son ancienne casquette : "Le journalisme politique tel qu’il est traité aujourd’hui ne m’intéresse plus. Il faut que je m’invente une nouvelle vie. Je continue à être journaliste littéraire pour Paris-Match, et j’espère aussi faire plus de reportages".
Enfin, que l’Elysée et son locataire se rassurent : Valérie Trierweiler ne fera plus de déclarations sur leur histoire commune. "Je n’en dirai pas plus, en tout cas publiquement, il y a des choses que je garderai pour moi", explique-t-elle, en concluant qu’elle à "hâte de passer à autre chose".