Dans une interview avec 20minutes, l’avocat de Nabilla a raconté ses réactions suite à la publication de ses photos en prison dans Closer.
Vendredi matin, Closer a publié une vidéo montrant Nabilla dans la cour de la prison pour femmes de Versailles (Yvelines). Une publication qui n’a pas laissé de marbre la jeune femme. Dans la soirée, son avocat a déclaré que la star de la téléréalité, « a été choquée et très peinée » de cette parution. « C’est un sentiment de vol lorsque l’on saisit votre image à votre insu. », a annoncé Maître Christian Saint-Palais lors de l’interview avec 20minutes.
Quant à l’idée d’attaquer le magazine people, ce représentant de Nabilla a estimé que « C’est une question de principe ». « Il est toujours important de rappeler que les détenus ont des droits. Leur image doit être respectée. La prison est un lieu où les photos sont interdites et les détenus doivent pouvoir garder un reste de dignité. Maître Desrues et moi-même devons rencontrer notre cliente ce samedi et nous arrêterons notre stratégie concernant ces photos. Nous sommes d’ores et déjà favorables à une action au pénal car il faut mettre un coup d’arrêt à ces pratiques. », a-t-il continué.
Soulignant qu’« elle est courageuse et a choisi de ne pas se plaindre », Maître Christian Saint-Palais a également évoqué le quotidien de la star en prison. « Elle prend sur elle pour se tenir, même lorsque Maître Desrues et moi-même allons à sa rencontre. Elle est patiente, car elle sait que le rythme de la justice est lent. », raconte-t-il. Après avoir passé la phase d’isolement, « Ma cliente peut donc se promener dans la cour de la prison et passer des coups de fils. Les juges l’ont aussi autorisée à recevoir des visites. », lance l’avocat qui n’a pas souhaité communiquer sur les faits qui se sont passés le soir du drame.
L’avocat qui a déclaré "faire son possible pour la sortir de prison avant Noel", va formuler une nouvelle demande de remise en liberté, précisant que « lorsque des éléments nouveaux interviendront dans le dossier. Mais pour l’instant nous essayons de faire accélérer le rythme judiciaire. ».