Le 14 mars dernier, Bernard Law-Waï certifiait à deux jours de la date butoir avoir en sa possession "quasiment 530 signatures" pour se présenter au premier tour de l’élection présidentielle. Sûr de lui, le trublion de la politique réunionnais encaisse aujourd’hui la nouvelle : il ne fait pas partie des candidats autorisés à prendre le départ de la course à l’Élysée mais il compte contre-attaquer en déposant un recours "pour annulation".