Marina Rose Joyce : "J’ai découvert des secrets sur l’au-delà"

Alors que ses fans se sont inquiétés sur des rumeurs de kidnapping, la jeune YouTubeuse anglaise Marina Joyce affirme avoir "découvert plusieurs secrets sur la vie après la mort".

Deux millions d’abonnés sur YouTube

Tout a commencé fin juillet lorsque Marina Joyce, une YouTubeuse anglaise de 19 ans, a publié une vidéo inhabituelle où elle semblait totalement à côté de la plaque. Une situation qui a poussé les fans de la jeune femme à imaginer des théories sur une prise d’otage ou un enlèvement. Le phénomène a enflammé les internautes et en l’espace de quelques jours, via le hashtag #SaveMarinaJoyce, elle est passée de 600 000 à deux millions d’abonnés sur YouTube. La police n’est pas restée sans réagir et elle est intervenue au domicile de la jeune Youtubeuse pour vérifier son état de santé. Peu de temps après, elle s’est affichée à travers plusieurs vidéos en affirmant que tout allait bien et que la toile s’était emballée pour rien.

Marina la déesse

Mais ce n’était pas encore terminé. Le dimanche 7 août, Marina a de nouveau fait parler d’elle en publiant sur sa page Facebook un long texte assez étrange. "Je veux devenir un dieu comme Bouddha et je veux que l’on m’appelle Marina la déesse désormais", a-t-elle écrit sur le récit de 7sur7.be ce samedi. Le plus surprenant c’est qu’elle avoue avoir "découvert plusieurs secrets sur la vie après la mort" et demande de l’argent à ses fans pour "construire un temple au Pérou."

"Ce n’est pas un canular"

Ses affirmations intéresseront plus d’un d’autant plus qu’elle s’estime être la seule à pouvoir sauver le monde "de tous les problèmes qui peuvent se produire". Elle l’a précisé en disant : "quand je serai morte, je pourrai communiquer avec les gens par l’esprit et apparaître à ceux que je choisis avec la magie (...) Ceci est mon testament pour que je reste sur Terre pour toujours." Il n’a pas encore été prouvé si oui ou non Marina souffre de problèmes psychologiques. Cependant, sa mère Cheryl Joyce a déclaré au Guardian que sa fille ne prenait aucune drogue et que c’était bel et bien réel. "Ce n’est pas un canular, nous serions incapables de faire ça", a-t-elle indiqué.