Illustration - FREY/WPA/SIPA
Après quelques années de vie commune, le risque d’infidélité grandit dans un couple. Quelques traits de personnalités pourraient donner la puce à l’oreille.
L’infidélité ou adultère peut arriver dans un couple après quelques années de relation pour diverses raisons. Pour certaines personnes, voir ailleurs est un moyen qui permet de se donner du plaisir autrement, se sentir valorisée et reprendre confiance en soi. À ceux qui se posent la question, certains signes ne trompent pas pour reconnaître une personne susceptible de plonger dans une aventure.
Des experts en relations amoureuses ont cité quelques traits de personnalité révélateurs. Il s’avère que les personnes infidèles sont souvent de nature impulsive. Motivées par leurs pulsions et leur goût du risque, elles considèrent les aventures comme "une expérience palpitante", selon la psychothérapeute et coach relationnelle Toni Coleman, citée par le magazine Grazia.
D’après Toni Coleman, "les personnes infidèles n’ont généralement pas la capacité à considérer le mal que leur comportement infligera à leur partenaire". Ce sont souvent des personnes narcissiques. Elles n’éprouvent pas réellement d’attachement envers quiconque. Si cela arrive, c’est pour mieux maîtriser la situation et nourrir d’espoir son ou sa partenaire.
Il peut y avoir plusieurs situations à l’origine d’une infidélité. Il s’avère que les personnes qui ont grandi dans une atmosphère de trahison sont plus enclines à tromper ou se tourner vers des partenaires infidèles. C’est ce que révèle une étude publiée dans le Journal of Family Issues. Les aventures ne semblent pas les déranger.
Les infidèles ont besoin d’affection. En cas de manque, ils n’hésitent pas à chercher ailleurs. Mais même si ces personnes ne sont pas heureuses dans leur couple, elles ne feront pas le pas pour rompre avec leur partenaire. "Les infidèles préfèrent tromper" sans rien dire. Ils laissent leur partenaire le découvrir et mettre fin à leur relation "sans qu’ils n’aient... besoin de le faire", selon T. Coleman
