Il n’y a plus un seul vétérinaire capable de soigner les chevaux dans les secteurs Nord et Est de l’île. Il s’agit d’une pénurie aux conséquences lourdes pour les professionnels équestres. Les médecins des autres secteurs sont déjà très demandés… Alors, les acteurs de la filière sont obligés de composer avec la situation et de s’organiser autrement pour soigner les bêtes. Ce qui pourrait les placer dans l’illégalité puisque le suivi des chevaux par un vétérinaire est une obligation.