En cette période de forte chaleur et d’humidité, les dépôts d’ordure sauvages dans les rues ou les terrains vagues contribuent à la prolifération des moustiques. Même si les cas de chikungunya ont considérablement baissé ces dernières années, ces tas de déchets représentent un facteur aggravant à l’invasion par les moustiques de certains quartiers, comme celui de Bois de Nèfles à Saint-Louis.