C’est une information linfo.re ; la société Foucque va enfin sortir de la « situation périlleuse », dans laquelle elle se trouve depuis Mai. 5 organismes bancaires locaux injectent plus de 5 350 000 euros dans les comptes fragilisés du concessionnaire. Une autre banque nationale met en place, un système de crédit revolving à hauteur de 1 200 000 euros pour permettre à Foucque de dédouaner très rapidement ses voitures.
Aujourd’hui, le Tribunal de Commerce a convoqué Rémy Briatte et Frédéric Foucque à 15h00 précises au Tribunal de Champ Fleuri.
Après la lecture d’un document juridique qui a pris moins de 30 secondes, les deux hommes ont quitté rapidement et l’air satisfait, le Palais de Justice pour retourner au siège de leur entreprise.
C’est sans doute soulagés que les dirigeants de l’entreprise Foucque ont pris connaissance de l’homologation d’une procédure de conciliation qu’ils avaient enclenchée depuis le 12 mai dernier.
Plusieurs partenaires financiers se sont engagés officiellement aujourd’hui à soutenir le groupe pendant les prochains un an et demi.
"La BR, la BFC, la BNPI, le Crédit Agricole, et la Bred nous créditent de 5 350 000 euros. Notre autre partenaire bancaire métropolitain, la SOFIBA nous consent un crédit revolving de 1 200 000 euros. C’est ce dernier apport, qui va permettre de sortir rapidement nos voitures...Non je ne veux pas dire ce soir que la société Foucque est sauvée...Je préfère dire que Foucque a les armes pour se sauver d’une situation périlleuse ».
Quant à savoir si le groupe Loret, entre dans l’actionnariat de Foucque, Rémy Briatte affirme qu’il « n’est pas question d’évoquer l’action de ce groupe pendant les 18 prochains mois… ».
Concernant la réorganisation hiérarchique, la société appartient toujours aux frères Foucque. Ils font partie intégrante du Conseil de surveillance. L’homme à la tête du groupe s’appelle officiellement Rémy Briatte :
« Nous renforçons le pouvoir de nos chefs d’activité. J’insiste vraiment pour remercier tout notre personnel qui nous fait pleinement confiance depuis ces 4 mois de difficulté. Nous remercions également nos clients qui nous soutiennent et dont la confiance à notre égard reste intacte… ».
Le procès-verbal de l’homologation de la conciliation est envoyé dès demain aux dirigeants de l’entreprise par le Tribunal de commerce.
Frédéric Foucque et Rémy Briatte mettent ainsi un terme aux rumeurs de rachat ou de dépôt de bilan qui entourent leur société.
Le Gouvernement aide les concessionnaires en difficultés :
La Réunion avait passé un accord avec l’Etat concernant l’intervention du médiateur du crédit pour tenter d’atténuer les effets de la crise (sur le secteur automobile), ressentie à la Réunion dès la fin 2008 avec des baisses de l’ordre de -20 à -30% de chiffre d’affaires.
Le même type de dispositif a été mis en place en Métropole notamment auprès de Peugeot.
Dans le cas du groupe Foucque, la nouvelle politique d’aide du Gouvernement implique que le risque de vente au groupe Loret ou à CMM s’éloigne et surtout que le groupe qui compte 500 salariés, évite la cessation de paiement.
Aujourd’hui, le Tribunal de Commerce a convoqué Rémy Briatte et Frédéric Foucque à 15h00 précises au Tribunal de Champ Fleuri.
Après la lecture d’un document juridique qui a pris moins de 30 secondes, les deux hommes ont quitté rapidement et l’air satisfait, le Palais de Justice pour retourner au siège de leur entreprise.
C’est sans doute soulagés que les dirigeants de l’entreprise Foucque ont pris connaissance de l’homologation d’une procédure de conciliation qu’ils avaient enclenchée depuis le 12 mai dernier.
Plusieurs partenaires financiers se sont engagés officiellement aujourd’hui à soutenir le groupe pendant les prochains un an et demi.
"La BR, la BFC, la BNPI, le Crédit Agricole, et la Bred nous créditent de 5 350 000 euros. Notre autre partenaire bancaire métropolitain, la SOFIBA nous consent un crédit revolving de 1 200 000 euros. C’est ce dernier apport, qui va permettre de sortir rapidement nos voitures...Non je ne veux pas dire ce soir que la société Foucque est sauvée...Je préfère dire que Foucque a les armes pour se sauver d’une situation périlleuse ».
Quant à savoir si le groupe Loret, entre dans l’actionnariat de Foucque, Rémy Briatte affirme qu’il « n’est pas question d’évoquer l’action de ce groupe pendant les 18 prochains mois… ».
Concernant la réorganisation hiérarchique, la société appartient toujours aux frères Foucque. Ils font partie intégrante du Conseil de surveillance. L’homme à la tête du groupe s’appelle officiellement Rémy Briatte :
« Nous renforçons le pouvoir de nos chefs d’activité. J’insiste vraiment pour remercier tout notre personnel qui nous fait pleinement confiance depuis ces 4 mois de difficulté. Nous remercions également nos clients qui nous soutiennent et dont la confiance à notre égard reste intacte… ».
Le procès-verbal de l’homologation de la conciliation est envoyé dès demain aux dirigeants de l’entreprise par le Tribunal de commerce.
Frédéric Foucque et Rémy Briatte mettent ainsi un terme aux rumeurs de rachat ou de dépôt de bilan qui entourent leur société.
Le Gouvernement aide les concessionnaires en difficultés :
La Réunion avait passé un accord avec l’Etat concernant l’intervention du médiateur du crédit pour tenter d’atténuer les effets de la crise (sur le secteur automobile), ressentie à la Réunion dès la fin 2008 avec des baisses de l’ordre de -20 à -30% de chiffre d’affaires.
Le même type de dispositif a été mis en place en Métropole notamment auprès de Peugeot.
Dans le cas du groupe Foucque, la nouvelle politique d’aide du Gouvernement implique que le risque de vente au groupe Loret ou à CMM s’éloigne et surtout que le groupe qui compte 500 salariés, évite la cessation de paiement.