La semaine prochaine c’est la semaine école-entreprise. Le Medef est à la manœuvre et un chef d’entreprise mouille sa chemise. Jean de la Perrière, président du Groupe Georges Michel se met en scène dans un court métrage.
Pourquoi vanter le rapprochement école-entreprise ?
Parce que je suis convaincu de cette nécessité. Le mouvement des entreprises des France est en relation avec les écoles, l’Institut d’Administration des Entreprises, l’Université de la Réunion et l’ensemble des systèmes éducatifs pour essayer de rapprocher les entreprises et le système éducatif. Nous avons pris conscience que les jeunes avaient peu ou en tout cas, pas assez d’information sur les entreprises. C’est la raison pour laquelle nous allons à leur rencontre mercredi prochain à l’université de la Réunion, et nous serons face à des lycéens et des étudiants, pour essayer de leur parler de l’entreprise dans tous ces aspects positifs pour leur donner envie d’entreprendre.
Quels sont les aspects positifs dans l’entreprise ?
C’est une très bonne question. 70 % des Français ne savent pas que c’est dans l’entreprise que l’on crée la richesse nationale. Donc il y a un peu de travail à mener. Modestement à la Réunion, on se dit que le mieux c’est quand même d’en parler avec les jeunes. Donc l’idée c’est vraiment de leur donner l’envie d’entreprendre.
Comment réveillez-vous l’esprit d’entreprise chez les jeunes ?
Nous allons communiquer avec eux, leur donner des exemples, leur montrer nos exemples. Tous les chefs d’entreprise présents ont des parcours différents, et ils vont raconter leur histoire, leur passion pour l’entreprise et surtout dire que l’on a besoin de nouveaux entrepreneurs. Vous savez que pratiquement 40 % des entreprises ne trouvent pas de repreneurs en France, et c’est encore plus difficile à la Réunion. Donc on doit l’expliquer aux jeunes pour qu’ils nous rejoignent dans cet esprit entrepreneurial. La création d’entreprises demande travail, persévérance et abnégation, mais en même temps cela procure tellement de plaisir.
Pourquoi vanter le rapprochement école-entreprise ?
Parce que je suis convaincu de cette nécessité. Le mouvement des entreprises des France est en relation avec les écoles, l’Institut d’Administration des Entreprises, l’Université de la Réunion et l’ensemble des systèmes éducatifs pour essayer de rapprocher les entreprises et le système éducatif. Nous avons pris conscience que les jeunes avaient peu ou en tout cas, pas assez d’information sur les entreprises. C’est la raison pour laquelle nous allons à leur rencontre mercredi prochain à l’université de la Réunion, et nous serons face à des lycéens et des étudiants, pour essayer de leur parler de l’entreprise dans tous ces aspects positifs pour leur donner envie d’entreprendre.
Quels sont les aspects positifs dans l’entreprise ?
C’est une très bonne question. 70 % des Français ne savent pas que c’est dans l’entreprise que l’on crée la richesse nationale. Donc il y a un peu de travail à mener. Modestement à la Réunion, on se dit que le mieux c’est quand même d’en parler avec les jeunes. Donc l’idée c’est vraiment de leur donner l’envie d’entreprendre.
Comment réveillez-vous l’esprit d’entreprise chez les jeunes ?
Nous allons communiquer avec eux, leur donner des exemples, leur montrer nos exemples. Tous les chefs d’entreprise présents ont des parcours différents, et ils vont raconter leur histoire, leur passion pour l’entreprise et surtout dire que l’on a besoin de nouveaux entrepreneurs. Vous savez que pratiquement 40 % des entreprises ne trouvent pas de repreneurs en France, et c’est encore plus difficile à la Réunion. Donc on doit l’expliquer aux jeunes pour qu’ils nous rejoignent dans cet esprit entrepreneurial. La création d’entreprises demande travail, persévérance et abnégation, mais en même temps cela procure tellement de plaisir.
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