Depuis jeudi, les juges de la cour criminelle étudiaient le cas d’un prédateur sexuel qui utilisait les réseaux sociaux pour faire chanter de jeunes filles mineures, en les menaçant de divulguer des photos compromettantes. Suivant un modus operandi similaire avec une trentaine de victime recensées, le suspect était également poursuivi pour des faits de viol et d’agression sexuelle. Après deux journées d’audience, Dimitri N. écope de 13 ans de réclusion criminelle.