Dernière ligne droite pour les douze candidates à l’élection Miss Réunion. Durant les deux prochaines semaines, ces beautés originaires des quatre coins de l’île devront partager leur temps entre les répétitions et les tournages. Un planning chargé qui n’effraie pas Anne-Cécile Georget, la candidate n°2. La jeune femme compte bien séduire les Réunionnais le samedi 16 juillet prochain et pour ce faire, elle déploiera tous ses charmes.
A quelques jours de l’élection de Miss Réunion 2011, les douze prétendantes au titre enchaînent les répétitions et les prises de vue, sous la direction du Président du Comité Miss Réunion Aziz Patel et de son équipe de professionnels.
Les douze candidates qui rêvent de succéder à Florence Arginthe ont déjà été présentées sur le site Linfo.re. Mais alors que l’échéance se rapproche, les reines de beauté ont accepté de nous livrer leurs impressions et de nous décrire les préparatifs du concours, vu de l’intérieur.
Anne-Cécile Georget est la candidate n°2. Elle mesure 1,70m et pèse 53kg La belle étudiante originaire de Saint-André a fêté ses 19 printemps mercredi dernier. C’est après des répétitions intenses qu’elle a répondu à nos questions ce lundi.
Quel est l’objet que vous portez toujours sur vous ?
Anne-Cécile Georget : Un bracelet certi de pierres que m’a offert ma mère l’an passé, à la veille des épreuves du baccalauréat. Il a une grande valeur sentimentale pour moi.
Votre plus beau souvenir ?
Anne-Cécile Georget : Ma passion étant le tennis, je dirais que ma rencontre avec de grandes pointures de la discipline (Tommy Robredo) a été sans doute mon plus beau moment.
Quelle est la Miss qui vous a le plus marqué ?
Anne-Cécile Georget : Valérie Bègue évidemment. Malgré le scandale, elle a su garder la tête haute pour surmonter cette épreuve et ignorer les critiques. En cela, on peut dire qu’elle fait figure d’exemple.
Comment définiriez-vous la beauté ?
Anne-Cécile Georget : Pour moi, la beauté, c’est la grâce, l’élégance, le charme. Mais il ne suffit pas de savoir bien marcher, la beauté va au-delà.
Qu’est ce qui vous a motivé à vous inscrire à l’élection Miss Réunion ?
Anne-Cécile Georget : J’ai commencé à y réfléchir après l’élection de Florence Arginthe. Mon père m’a dit à plusieurs reprises que je devais me présenter. A force d’arguments, il a réussi à me convaincre de m’inscrire. Il m’a beaucoup soutenu. Aujourd’hui encore, il m’épaule et m’accompagne dans ma démarche.
Que vous apporte votre participation à ce concours de beauté ?
Anne-Cécile Georget : Beaucoup sur le plan personnel. Je suis d’un naturel très timide alors au début j’ai hésité à me présenter. Lorsque j’ai appris que j’étais retenue parmi les douze finalistes, j’ai été très surprise et ma famille aussi. Je ne regrette pas de m’être lancée dans cette aventure. J’ai gagné en confiance.
Que pensez-vous de l’évolution du concours Miss Réunion tout au long de ces dernières années ?
Anne-Cécile Georget : Je trouve qu’il est important d’entretenir la tradition mais la modernité ne fait pas de mal. Le concours Miss Réunion, dans sa forme actuelle est très bien.
Un dicton qui pourrait résumer votre philosophie de vie ?
Anne-Cécile Georget : "Quand on veut on peut". Tout est affaire de volonté dans la vie.
Le jour J approche à grands pas, que craignez-vous le plus ?
Anne-Cécile Georget : Au niveau des passages, ça va, je maîtrise assez mon stress. Ce qui m’inquiète le plus, ce sont les chorégraphies. J’espère que je saurai les retenir et faire honneur à mes professeurs. Je redoute un peu la question avec Christophe Bégert, même s’il est doué pour mettre les gens à l’aise.
On l’aura compris, la candidate n°2, Anne-Cécile Georget est une jeune femme ambitieuse qui se donnera les moyens de réaliser son rêve. Rendez-vous le samedi 16 juillet prochain pour la grande élection de Miss Réunion. A l’issue d’un spectacle haut en couleurs, vous connaîtrez le nom de celle qui succède à Florence Arginthe.
