Charlène de Monaco s’était exprimée plus tôt cette année au sujet de la crise requin à La Réunion. Elle avait provoqué la colère des familles de victimes sur l’île.
La princesse de Monaco a évoqué la crise requin à La Réunion dans une interview donnée à Paris Match en mars 2017. Elle s’est exprimée en réponse aux déclarations de Kelly Slater suite à l’attaque de requin mortelle qui a coûté la vie à Alexandre Naussac en février 2017.
Charlène de Monaco avait provoqué la colère des familles de victimes qui s’étaient adressées à elle par voie de presse. La représentante de la principauté vient de s’excuser début novembre dans une nouvelle interview donnée à Gala : "Ses propos ont été sortis de leur contexte et retranscrits de manière incomplète". Elle s’est dite "snesible à la douleur et au chagrin des familles dont un être cher a été victime d’une attaque de requin."
Charlène de Monaco a assuré être "engagée au quotidien avec sa fondation pour sensibiliser et sauver des vies face aux dangers de la mer (...) toutes les mesures doivent être mises en place afin que de tels drames ne puissent pas se reproduire en préservant l’accès à la mer pour les populations dont elle constitue leur environnement naturel.
La princesse Charlène de Monaco a déclaré dans Paris Match plus tôt cette année : "Je suis désolée pour ce jeune surfeur, dit-elle dans des propos rapportés par Paris Match, mais il n’avait pas à nager dans ces eaux sales, particulièrement attirantes pour les requins, et, du reste, interdites à la baignade. On tue 1 million de requins par an, eux ont fait 20 morts à la Réunion depuis 2011... Sans ces prédateurs, la planète ne fonctionnerait pas comme il se doit. Ce que préconise Slater met en danger l’écosystème..."
Le Collectif des familles de victimes du scandale requin avait déclaré :
"Nous étions 8 familles fracassées (sans compter les proches des blessés qui souffrent peut-être encore plus) et le temps de lire ce papier, nous voilà déjà à 9, avec la dernière attaque sur Adrien, le 29 Avril dernier.
Ce chiffre funeste n’est pas figé, vous ne tarderez pas à le constater, si le sujet continue à vous intéresser un tant soit peu.
Il n’est plus question aujourd’hui d’une crise, mais d’un véritable « Scandale Requin » à La Réunion.
Il ne faut pas traiter un sujet aussi sensible avec légèreté, et nous vous demandons, lorsque vous vous exprimez sur une telle tragédie, de mieux vous renseigner, afin de ne pas blesser davantage les personnes touchées par ces drames.
Les morts, les survivants et leurs familles vous le demandent, car votre ignorance semble grande."