Tour d’horizon des différents types de contraceptifs, féminins ou masculins, les classiques ceux remboursés ou pas.
La pilule. Il faut savoir qu’elles ne sont pas toutes remboursées. En théorie elle est efficace entre 93 et 99,5 %, à condition évidemment de ne pas l’oublier. La fameuse pilule du lendemain, qui reste une contraception d’urgence après un rapport non protégé.
L’implant que l’on insert au niveau du bras, que vous pouvez garder environ 3 ans
Le dispositif intra-utérin (DIU) : l’un est hormonal, l’autre au cuivre. Ce dernier est de plus en plus utilisé car il est considéré comme naturel
La méthode de la prise de température mais là le risque reste quand même élevé.
Le préservatif, le plus connu de tous. En plus d’être efficace en théorie a 100 % s’il n’y a pas d’incident, il reste le seul moyen de contraception qui protège des maladies et infections sexuellement transmissible, il existe pour les hommes et pour les femmes.
Cette fois ils ne sont pas forcément remboursés, à commencer par le patch, à coller sur la peau.
Autre méthode : le spermicide sous forme de gel ou d’ovule, à appliquer chez la femme, il détruit les spermatozoïdes.
L’anneau vaginal/la cape cervicale et le diaphragme sont également des moyens de contraception moins utilisés, tous les 3 se placent à l’intérieur du vagin.
Avec cette méthode plutôt récente qui pourrait bien faire sourciller à la maison : un slip contraceptif pour les hommes. Il dégage de la chaleur, ce qui inactive les spermatozoïdes.
Et enfin la vasectomie qui reste une méthode plutôt radicale, seulement 1 % des hommes y ont recours en France.
Évidemment cette liste n’est pas exhaustive et la meilleure contraception reste celle que l’on choisi avec l’aide d’un professionnel de santé.