Les 3 cas de chikungunya avérés ou suspectés à Saint-Gilles proviennent du chemin Bottard. Il se situe à proximité de la Ravine Saint-Gilles. Même si la psychose n’est pas d’actualité chez la plupart des riverains, certains montrent du doigt la Ravine qui n’est pas régulièrement nettoyée.
La majorité des habitants du chemin Bottard ne veut pas céder à la psychose. Certains restent confiants sur la suite des événements :
« Chez moi, on a toujours continué à se protéger. Que ce soit avec des serpentins ou par les gestes de prévention, comme vider les récipients d’eau… ».
Cette autre habitante, plus âgée affirme par contre qu’elle est un peu inquiète : « c’est surtout pour mes petits-enfants… ».
Les équipes de la Drass ont déjà effectué 3 passages de démoustication depuis deux semaines. Plusieurs cours d’habitation ont ainsi été désinfectées.
Si les avis sont plutôt mitigés sur la probable reprise du chikungunya sur l’île, tous sont unanimes pour dénoncer l’état déplorable de la ravine toute proche :
« moi ça ne m’étonne pas que le virus soit apparu chez nous ! vu l’état de la ravine Saint-Gilles qui n’est plus nettoyée… ».
Plus largement, Saint-Gilles ne cède pas à la peur du chik, les pharmacies prennent cependant les devants en renouvelant dès ce matin leur commande de produits répulsifs :
« Avec l’actualité du jour, c’est sûr que les gens vont vouloir en acheter », déclare ce pharmacien de Saint-Gilles les bains.
La majorité des habitants du chemin Bottard ne veut pas céder à la psychose. Certains restent confiants sur la suite des événements :
« Chez moi, on a toujours continué à se protéger. Que ce soit avec des serpentins ou par les gestes de prévention, comme vider les récipients d’eau… ».
Cette autre habitante, plus âgée affirme par contre qu’elle est un peu inquiète : « c’est surtout pour mes petits-enfants… ».
Les équipes de la Drass ont déjà effectué 3 passages de démoustication depuis deux semaines. Plusieurs cours d’habitation ont ainsi été désinfectées.
Si les avis sont plutôt mitigés sur la probable reprise du chikungunya sur l’île, tous sont unanimes pour dénoncer l’état déplorable de la ravine toute proche :
« moi ça ne m’étonne pas que le virus soit apparu chez nous ! vu l’état de la ravine Saint-Gilles qui n’est plus nettoyée… ».
Plus largement, Saint-Gilles ne cède pas à la peur du chik, les pharmacies prennent cependant les devants en renouvelant dès ce matin leur commande de produits répulsifs :
« Avec l’actualité du jour, c’est sûr que les gens vont vouloir en acheter », déclare ce pharmacien de Saint-Gilles les bains.