Arrêté mardi 17 novembre en fin de matinée aux Comores, Saïd Larifou, le leader du parti Ridja a été déféré, le lendemain au parquet où il a écopé d’une citation à comparaître pour le 24 décembre prochain afin de répondre du délit d’ « offense au chef de l’Etat », en l’occurrence Sambi. Cet après midi, Saïd Larifou - avocat sur le département - a convié la presse afin d’expliquer les conditions dans lesquelles il a été interpellé, sans omettre de dire qu’il a subi des "pressions psychologiques et physiques".