En 2019, Anas s’était immolé par le feu pour dénoncer la précarité étudiante. L’épidémie qui a suivie a d’autant plus fragilisé leur situation, poussant Lucile, une étudiante nantaise à écrire une lettre à Emmanuel Macron. Postée sur les réseaux sociaux, de nombreux jeunes se sont reconnus dans la détresse qu’elle décrit.