C’est un paysage de désolation qui s’est offert à Eva Joly, qui était en déplacement au Maïdo pour constater les dégâts causés pas l’incendie qui a ravagé plus de 2 800 hectares de végétation au coeur même du Parc National. Elle a dénoncé la mauvaise gestion de cet incendie et le retard dans l’intervention du bombardier d’eau de la Sécurité Civile sur le front.