Suite à une enquête policière, l’activité clandestine d’un tatoueur de Saint-André a été mise à jour. Le tatoueur de 28 ans sera jugé le 22 mai prochain.
Mercredi soir, les policiers de Saint-André sont appelés pour des violences conjugales. Si finalement, le suspect ne sera pas poursuivi pour ces faits, les représentants des forces de l’ordre découvrent 40 grammes de zamal et tout le matériel nécessaire pour un salon de tatouage.
Les investigations permettront d’établir que l’homme de 28 ans exerçait clandestinement la profession de tatoueur depuis 2 ans. De plus, il percevait illégalement les minima sociaux. Il sera jugé devant le tribunal correctionnel le 22 mai prochain pour escroquerie à la CAF et travail dissimulé.