Sur les zones ravagées par l’incendie qui a sévi pendant dix jours au coeur de la forêt du Maïdo, il ne reste que cendres et bois mort. Les conséquences écologiques sont désastreuses : selon les spécialistes de l’Office National des Forêts (ONF), sept espèces végétales rares sont menacées ou vulnérables. Sur près de 800 hectares auparavant recouverts de verdure, le paysage laisse désormais place à un spectacle de désolation.