Le 9 juin dernier, Yves Ivoula s’est longuement défendu devant le tribunal correctionnel de Saint-Denis. La justice lui reproche une gestion “anarchique” de ses deux casses autos et d’enfreindre de nombreuses règles, notamment en matière d’environnement. Il a été relaxé pour une partie des faits, mais a été condamné à deux ans de prison dont un an avec sursis probatoire.