Placé en garde à vue vendredi matin au commissariat Malartic, le livreur du fourgon de Mado, braqué mercredi dernier, a été relâché samedi soir. Les enquêteurs avaient noté des imprécisions et des contradictions dans ses déclarations. Finalement, les policiers ont mis ses incohérences sur le compte de l’émotion suite au braquage.
L’enquête se poursuit dans l’affaire du fourgon de Mado braqué mercredi dernier sur la quatre voies reliant la Possession au Port. Un fourgon transportant la recette de plusieurs boutiques de parfumerie de l’enseigne Mado. Selon le chauffeur du véhicule, plusieurs individus cagoulés et armés l’auraient menacé avec une arme le temps de vider le fourgon de sa marchandise. Un braquage au mode opératoire inédit effectué en plein jour. Le préjudice financier s’élèverait à près de 16 000 euros.
Les enquêteurs ont estimé qu’il y avait des contradictions et des incohérences dans les déclarations du chauffeur. Placé en garde à vue vendredi matin au commissariat Malartic, le chauffeur a finalement été relâché. Ses imprécisions ont été considérées comme la conséquence de l’émotion suscitée par ce braquage. Les investigations vont donc se poursuivre pour élucider cette affaire.