Le petit-ami d’Aurélie est en garde à vue depuis hier soir. Agée de 23 ans, cette Portoise affirme qu’elle a été séquestrée, violée et frappée par cet homme. Ce dernier s’est présenté de lui-même lundi 28 février au commissariat de Saint-André avant d’être transféré au Port. Il nie les faits qui lui sont reprochés.
Le 19 février dernier, Aurélie a fait le choix de témoigner après avoir vécu un véritable calvaire. Elle affirme avoir été frappée, violée et séquestrée au domicile de son compagnon, durant une semaine.
La jeune femme âgée de 23 ans raconte qu’elle a réussi à s’enfuir un soir, lorsque son compagnon était ivre. Aurélie Cavaille a immédiatement porté plainte contre son agresseur mais jusqu’au 28 février, il était libre de ses faits et gestes.
Cette Portois affirme qu’elle a vécu un enfer (cf. "Le calvaire d’Aurélie").Face à la caméra dimanche 20 février, Aurélie Cavaille est revenue sur le supplice qu’elle a enduré pendant une semaine. Le visage tuméfié et les yeux au beurre noir, la victime a alors confié avoir cru mourir.
Son récit est particulièrement violent : elle affirme que pendant une semaine elle est frappée, abusée sexuellement et séquestrée au domicile de son agresseur. Hier, le petit-ami de la jeune femme s’est présentée de lui-même au commissariat de Saint-André avant d’être transféré au Port. Il nie les faits qui lui sont reprochés mais pour Aurélie, son placement en garde en vue ne peut être qu’un soulagement.