Au lendemain du triple meurtre de Saint-Joseph, le quartier est toujours sous le choc. Ce matin plusieurs voisines se trouvent devant la maison de Christine Morel. Elles essayent de se tenir au courant de l’état de santé de la mère de famille. Elle va mieux, mais rejette l’idée de la mort de ses deux plus jeunes enfants.
Ce matin, Sylvaine et Christine sont devant le portail de la maison de Christine Morel. Des scellés en interdisent l’accès. Les deux voisines sont encore toutes retournées de ce qu’à vécu la mère de famille âgée d’une quarantaine d’années.
Elles ont obtenu de récentes nouvelles sur l’état de santé de Christine Morel. Elle va mieux, mais « elle a du mal à accepter la mort de ses deux plus jeunes enfants. Elle a appris la nouvelle, hier même… », lance une des deux voisines.
Dans le quartier, la nuit a été calme, mais le drame reste dans toutes les mémoires. Pour l’heure, les enquêteurs n’ont pas encore fait procéder au nettoyage des lieux.
Des traces de sang sont encore visibles à l’entrée de la maison, ce qui ne fait qu’accentuer le malaise déjà présent dans la rue du drame.