En fin de matinée, un avion transall a atterri en urgence sur le tarmac de l’aéroport Roland Garros. En partance pour les îles éparses, le gros porteur a vu un de ses moteurs à hélices "lâcher". Malgré le risque important d’incendie à bord, le transall a pu se poser sans encombre.
Une heure et 15 minutes après le décollage une alarme est apparue. Après analyse de la panne par l’équipage et compte-tenu du caractère non urgent de la mission, le commandant de bord décide d’effectuer un demi-tour vers Saint Denis afin de dépanner l’avion.
Sur le trajet retour, en application de la procédure de secours en la circonstance, il est décidé de couper le moteur. L’avion se pose à 11 h 15 locale, en toute sécurité. Les services de sécurité incendie de l’aéroport assurent la surveillance de la manœuvre, prêts à intervenir en cas de besoin.
Selon l’armée de l’air, ce type d’évènement reste exceptionnel, les équipages sont formés et entraînés à sa gestion.
Une heure et 15 minutes après le décollage une alarme est apparue. Après analyse de la panne par l’équipage et compte-tenu du caractère non urgent de la mission, le commandant de bord décide d’effectuer un demi-tour vers Saint Denis afin de dépanner l’avion.
Sur le trajet retour, en application de la procédure de secours en la circonstance, il est décidé de couper le moteur. L’avion se pose à 11 h 15 locale, en toute sécurité. Les services de sécurité incendie de l’aéroport assurent la surveillance de la manœuvre, prêts à intervenir en cas de besoin.
Selon l’armée de l’air, ce type d’évènement reste exceptionnel, les équipages sont formés et entraînés à sa gestion.