Un homme de 34 ans a été intercepté par les gendarmes lors d’un contrôle routier. Arrêté car il ne portait pas sa ceinture de sécurité, les militaires l’ont soumis à un test d’alcoolémie. Il avait un taux plus de 6 fois supérieur au maximum autorisé.
Un taux d’alcoolémie très important a été relevé sur un automobiliste dimanche après-midi par les gendarmes dans l’Est. L’automobiliste a été arrêté à Bras-Panon, lors d’un contrôle routier des motocyclistes de la brigade motorisée de Saint-Benoît.
"Son cerveau doit être complètement dans le brouillard. Déjà, à 1,2 gramme, les risques d’accident sont multipliées par 35. C’est difficile de garder ses réflexes", Daniel Thirel, le Président du Comité Départemental de la Prévention Routière.
Il ajoute : "C’est au moins une dizaine de verres. Il faut au moins 20 à 24 heures pour éliminer entièrement cet alcool et surtout ne pas conduire."
Ensuite, il prodigue des conseils : "Il faut que les gens qui sont avec la personne qui a bu refusent de monter dans le véhicule et essaient par tous les moyens de le dissuader de prendre le volant quitte à lui prendre ses clés."
Contrôlé avec 3,30 g/l d’alcool dans le sang, le contrevenant de 34 ans domicilié à Bras-Panon a fait l’objet d’une procédure délictuelle (taux supérieur à 0,80 g/l d’alcool dans le sang). Ce délit entraîne une rétention immédiate de son permis de conduite et un retrait de 6 points. Il a été remis à sa famille habitant à proximité du contrôle.
Il sera convoqué devant le tribunal correctionnel et risque une suspension de 6 mois de son permis de conduire.
Après une brève explication orale difficile, a expliqué avoir consommé beaucoup de rhum pour oublier l’hospitalisation de son père suite à un AVC.