Un rapport a révélé qu’en 2018, 217 femmes se sont suicidées à la suite de harcèlement de la part de leur conjoint.
Un projet de loi contre le suicide forcé est examiné par le Sénat, mardi 9 juin. Ce texte résulte du Grenelle sur les violences conjugales.
Pour mieux les protéger les femmes harcelées et empêcher les suicides, le gouvernement veut légiférer et faire du suicide forcé une circonstance aggravante. En 2018, 217 femmes, harcelées par leur conjoint, ont mis fin à leurs jours.
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Selon RTL, le procès d’un homme de 30 ans pour la mort, en 2016, de sa compagne, Mélissa, a eu lieu, à Chambéry. Pour la mère de la victime, ce sont les mots blessants de son compagnon qui ont poussé la jeune femme à se défenestrer.
"Les mots peuvent aussi tuer, c’est comme des coups de couteau qu’on afflige à quelqu’un et à chaque fois, je t’en remets un... Cette souffrance accumulée à force, elle n’en pouvait plus", a encore commenté la mère de Melissa.
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